Medium Aevum – Atlas de la Terra Sancta

Nous sommes en l’an de grâce 1170 dans les États latins d’Orient, alors que le roi Amaury Ier célèbre sa septième année de règne à la tête du royaume de Jérusalem. La question égyptienne a dominé l’essentiel de la politique de ce souverain énergique. À cette époque, l’ancienne terre des pharaons est considérée comme la clé de la région, en raison de sa position stratégique, de ses richesses et de la faiblesse de ses dirigeants, les califes fatimides. À ce titre, elle est l’objet de toutes les convoitises…

L’atlas de Terra Sancta prolonge le supplément Terra Sancta en passant en revue les territoires de Terre sainte et leurs innombrables possibilités en jeu : d’une part, les États latins d’Orient comme le royaume de Jérusalem, le comté de Tripoli ou la principauté d’Antioche, d’autre part les puissances du Proche-Orient comme le sultanat du Levant ou l’Empire byzantin.